Les Schisandraceae sont classiquement considérées comme alliées aux
Illiciaceae, surtout depuis une étude menée par A.C. Smith (1947). Des études embryologiques (R. N. Kapil et S. Jalan, 1964) ont remis en question ces résultats. Dans sa monoggrahie, A.C. Smith postulait aussi pour une relation étroite entre les Schisandraceae et les
Magnoliaceae. J. Hutchinson (1973) concluait que les Schisandraceae étaient probablement dérivées des
Magnoliaceae. Des études menées sur les pollens ont montré que les Schisandraceae et les
Illiciaceae étaient relativement proches des
Winteraceae (J. W. Walker and A. G. Walker, 1984). Les études compranant les nucléotides du gène du type rbc L (M. W. Chase et al., 1993 et aussi Qiu Y. L. et al., 1993) ont conclu que les Schisandraceae, étaient proches des
Illiciaceae et des
Austrobaileyaceae, mais pas des
Winteraceae.